
Face à la façade de l’Hôtel de ville, elle recueille quelques signatures couchées sur une pétition destinée à appuyer ses revendications. « Dans la plus grande indifférence, je vais me retrouver sans rien. Je ne fais pas l’aumône, je ne suis pas quelqu’un d’assisté. Je veux simplement un droit au respect et au travail ».
Une déclaration exprimée dans un climat familial très lourd, comme le démontrent celles de son père Guy et de sa fille Elodie...
http://www.nicematin.com/derniere-minute/une-greve-de-la-faim-pour-un-emploi-a-menton.834994.html
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